Élise de Jérusalem
Judéenne d'Ophel, le quartier populaire de Jérusalem. Elle a la soixantaine. Sa fille unique, Annalia, la première des vierges consacrées, phtisique, est condamnée à court terme. Elle n'a que quinze ans. Jean, l'apprenant, intercède auprès de Jésus qui la guérira (EMV 85).
Miraculée, sa fille renoncera à se marier avec son fiancé Samuel. Élise en souffre et accepte mal une deuxième nouvelle : le souhait d'Annalia de devenir la première vierge consacrée à la suite de Jésus (EMV 368).
L'épreuve ne s'arrête pas là : sa fille meurt, selon son désir, après avoir vu l'entrée triomphale de Jésus à Jérusalem et avant donc la terrible Passion (EMV 590).
Jésus Ressuscité viendra consoler la mère éprouvée en l'assurant du bonheur de sa fille (EMV 632).
Son nom
Élise, comme Élisée (Èlisha), veut dire "Dieu est Salut". Référence historique : le grand prophète Élisée.
Où en parle-t-on dans l'œuvre ?
EMV 85 EMV 632