L’Évangile tel qu’il m’a été révélé

    De Wiki Maria Valtorta

    "L’Esprit reçoit ce qui vient de moi pour vous le faire connaître." (Jean 16,15)

    L'Évangile tel qu'Il m'a été révélé
    Page couverture de la 2e édition en français (2016) de "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé" Page couverture de la 2e édition en français (2016)
    Détails de l'œuvre
    Auteur Maria Valtorta
    Rédaction Du 16 janvier 1944 au 28 avril 1947
    Visions 652
    Pages manuscrites Environ 9000
    Tomes 10
    Pages Plus de 5300
    Diffusion
    Traductions 30 langues, y compris l'italien
    Revendeurs agrées Liste par pays
    Première édition en italien
    Titre Il poema dell’Uomo-Dio
    Parution 1956-1959
    Éditeur Tipografia editrice M. Pisani
    Traduction française 1re édition
    Titre L'Évangile tel qu'il m'a été révélé
    Traducteur Félix Sauvage
    Parution 1979
    Éditeur Centro editoriale valtortiano
    Traduction française 2e édition
    Traducteur Yves d'Horrer
    Parution 2016
    Éditeur Centro editoriale valtortiano

    Cet ouvrage inspiré constitue l’œuvre majeure de Maria Valtorta. Il est constitué des visions qu'elle reçut durant trois ans et demi parmi d'autres.

    Ces visions rapportent des scènes de la vie de Jésus il y a 2 000 ans. Elles ont été publiées d’abord sous le titre de Poema del Uomo-Dio (Poème de l'Homme-Dieu) puis à partir de 1996, de L'Evangelo come mi è stato rivelato (L'Évangile tel qu'il m'a été révélé).

    Primitivement, cette vie de Jésus a circulé sous forme de copies dactylographiées par le Père Migliorini son confesseur : un travail énorme. C’est dans cette forme, qu’en 1947, [Pie XII] en prend personnellement connaissance. Il encourage alors sa publication en ces termes :

    "Publiez l’œuvre telle quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront, comprendront."

    Cette vie de Jésus est publiée en 1956 dans une mauvaise édition en quatre volumes et de façon anonyme, ce qui était le vœu de Maria Valtorta et la demande de Jésus : elle devait rester anonyme jusqu'à sa mort. Cette narration a soulevé la polémique et fut mise un temps à l'Index des Livres prohibés pour défaut d'imprimatur, mais seulement après la mort du Souverain Pontife[1].

    Ampleur et ordonnancement du contenu

    Cahier manuscrit (archives de la Fondazione Erede di Maria Valtorta)

    La totalité des transcriptions de Maria Valtorta tient sur 122 cahiers d’écolier, pour un total de 13 193 pages manuscrites.

    Parmi elles, quelques 9 000 pages manuscrites composent L’Évangile tel qu’il m’a été révélé. En italien, ce recueil fait 10 800 000 caractères (espaces incluses), constituant la plus longue biographie de Jésus de l’histoire. Maria Valtorta l’a rédigée entre 16 janvier 1944 (vision des noces de Cana) et le 28 avril 1947 (sur un rythme journalier cumulé de 3 ans et 3 mois, exactement comme la durée de la vie publique de Jésus), pour un temps total de travail estimé à quelque 6 000 heures. Elle transcrivait rapidement pour être la plus fidèle possible aux dialogues qu'elle entendait. Il lui arrivait d’écrire pendant 18 heures d’affilée, avec une attention constante, sans que l’on puisse percevoir une baisse de qualité tant sur le fond que sur la forme. Ce fait constitue, à lui seul, une performance productive inédite dans l’histoire de la littérature.

    Sur l’ensemble des visions reçues par Maria Valtorta, 166 visions (soit 26% du contenu) le furent de façon non chronologique. Elles furent ensuite mises dans l’ordre par l’éditeur, Jésus donnant lui-même des consignes de classement lors de dictées[2]. Jésus lui dit à ce sujet :

    "Des nécessités de réconfort et d’instruction pour toi, ma bien-aimée, et pour d’autres, m’ont contraint à suivre un ordre spécial pour donner les visions et les dictées qui s’y rapportaient. Mais je vous indiquerai, au moment voulu, comment répartir les épisodes des trois années de vie publique. L’ordre des évangiles est bon, mais pas parfait chronologiquement parlant. Un observateur attentif le remarque. Celui qui aurait pu donner l’ordre exact des faits — puisqu’il est resté avec moi depuis le commencement de l’évangélisation jusqu’à mon ascension —, ne l’a pas fait. En effet Jean, en vrai fils de la Lumière, s’est occupé et préoccupé de faire briller la Lumière à travers son vêtement de chair aux yeux des hérétiques qui attaquaient la réalité de la Divinité enfermée dans une chair humaine. Le sublime évangile de Jean a atteint son but surnaturel, mais la chronique de ma vie publique n’en a pas été aidée. Les trois autres évangélistes sont semblables en ce qui concerne les faits, mais ils altèrent l’ordre du temps, car un seul des trois a été présent à presque toute ma vie publique : Matthieu, et il ne l’a mise par écrit que quinze ans plus tard. Quant aux autres, ils l’ont fait encore plus tard, et après en avoir entendu le récit de ma Mère, de Pierre, ainsi que des autres apôtres et disciples. Je veux vous guider pour réunir les faits des trois ans, année par année. […] Si vous faites un livre, il vaudra mieux mettre les événements à la suite, dans l’ordre chronologique plutôt que par catégories, en vous limitant à préciser, au début ou dans un renvoi, à quelle catégorie appartient chaque épisode." (EMV 468.1-7).

    Précisons encore qu’elle transcrivait, en parallèle, d’autres dictées et visions qui allaient composer d’autres œuvres importantes : Les Cahiers, Le Livre d’Azarias, Les Carnets, etc.

    Points remarquables

    Titre original corrigé pour les tomes suivants en "Poema del Uomo-Dio"

    À titre de comparaison, À la recherche du temps perdu de Marcel Proust – 9 609 000 caractères (espaces inclus) – est inscrit au Guinness des Records comme le plus long roman de l’histoire. Marcel Proust l’a rédigé en 16 ans et en est mort d’épuisement. L'Évangile tel qu'il m'a été révélé est d'une taille supérieure (10 800 000 caractères) et a été écrit en cinq fois moins de temps (3 ans et 3 mois).

    Pour abondante qu’elle soit, l’œuvre de Maria Valtorta dans son ensemble, reste dans les usages du Ciel à défaut de ceux de la Terre : ses 13 193 pages autographes sont dans la norme des 10 000 pages de la vénérable Luisa Piccarreta (1865-1947), les 22 000 pages de sainte Véronique Giuliani (1660-1727) et très loin des 65 000 pages de la vénérable Conception de Armida (1862-1937).

    Conformité à l'Évangile canonique

    Inédits et déploiements évangéliques

    Cette révélation privée rapporte des faits inédits ou simplement évoqués dans l’Évangile. Ainsi, nous trouvons, par exemple, dans l’Œuvre :

    • 179 miracles détaillés réalisés par Jésus (30 dans le Nouveau Testament) ;
    • 97 paraboles complètes (39 synthétisées dans le Nouveau Testament) ;
    • 77 pages imprimées pour le Sermon sur la montagne, de EMV 169 à EMV 174 et EMV 176 (6 pages imprimées dans l’évangile selon saint Matthieu, chapitres 5, 6 et 7) ;
    • Les 9 points des Béatitudes sont développés, un à un, sur 7 pages (EMV 170) ;
    • Quelque 200 pages imprimées pour la Passion.

    Selon ce que Jésus affirme dans l'œuvre, ce déploiement est mis au service de l’authenticité de l'Évangile éternel tel que la Tradition nous l'a transmis en confirmant ses fondements historiques et doctrinaux (EMV 652). Afin d'étayer cette cohérence, cette encyclopédie renvoie, chaque fois que possible, l'internaute aux citations de l'Évangile et des textes du Magistère.

    Épisodes référés à l'Évangile et inédits

    Les quatre Évangiles sont on ne peut plus différents pour le choix des épisodes : 111 péricopes[3] sur 373 sont propres à un seul Évangile (4 chez Marc, 30 chez Matthieu, 36 chez Luc, 41 chez Jean), les 262 autres étant communes tantôt à trois, tantôt à deux évangélistes (parfois quatre, notamment pour la Passion). Les deux Évangiles de l'enfance (Matthieu 1 – 2 et Luc 1 – 2) n'ont pas un seul épisode en commun.

    Les visions de Maria Valtorta les recouvrent toutes, mais il arrive qu'elles différencient des épisodes que l'exégèse réunit habituellement.

    Répartition des épisodes selon les 10 tomes
    Tome Référés aux Évangiles[4] Consacrés entièrement aux commentaires[5] Inédits évangéliques[6]
    Tome 1 31 5 42
    Tome 2 13 - 68
    Tome 3 25 - 41
    Tome 4 25 - 45
    Tome 5 20 - 48
    Tome 6 11 - 58
    Tome 7 9 - 59
    Tome 8 11 - 43
    Tome 9 13 - 33
    Tome 10 17+5[7] 6 24
    TOTAL 175+5[8] 11 461
    % 27,6% 1,7% 70,7%

    La publication

    Calendrier de l'œuvre

    Commencées le dimanche 16 janvier 1944 au soir, les visions constitutives de la vie de Jésus se sont closes le lundi 28 avril 1947[9]. Maria Valtorta rédige alors une attestation signifiant que le don du Ciel qu'elle a reçut est intangible.

    Il s’agit d’une véritable attestation comme elle le confie à Mère Teresa Maria di San Giuseppe, sa mère spirituelle. Elle est assurée ainsi "que l’Œuvre restera sous la forme dictée et éclairée par Dieu, sans aucune des retouches humaines qu’un écrivain utilise généralement pour perfectionner ses propres écrits avant de les faire imprimer[10]".

    Cette attestation est contresignée par le Père Sostegno M. Benedetti qui rendit visite à Maria Valtorta ce jour‑là. Il était le Prieur des Servites de Pise, non loin de Viareggio, et croyait en la nature surnaturelle de l’œuvre, c’est pourquoi il tint, avec l’accord de Maria Valtorta à contresigner la page.
    Attestation1947.png
    Selon un courrier reçu du Père Berti, le tapuscrit était déjà sur le bureau de Pie XII depuis le 28 mars 1947[11]. Elle est si impatiente du retour qu'en fera le Saint-Père qu'elle se demande si le P. Berti ne l'a pas trompée. Il lui faudra cependant attendre encore dix longs mois, jusqu'au 26 février 1948 pour avoir en retour les encouragements de Pie XII. C'est donc dans un contour amputé de quelques visions que l'œuvre fut présentée au pape et circulera au Vatican. Son contenu sera complété en 1951 par quelques visions relatives à l'Assomption de Marie.

    Les premières traductions et la traduction française

    Tome 1 de la première édition (1979) traduite par Felix Sauvage

    Les traductions complètes de l'œuvre sont sorties (date du premier volume) respectivement en :

    • 1976 : Espagnol
    • 1979 : Français
    • 1983 : Allemand
    • 1986 : Anglais.

    Félix Sauvage, un autodidacte et enseignant à la retraite, effectua généreusement la première traduction en français de L’Évangile tel qu’il m’a été révélé dans les dernières années de sa vie. C’est la première fois que l’Œuvre fut intégralement traduite dans une langue étrangère. Cette traduction fut publiée en 1979, un an après son décès à l’âge de 87 ans, par le Centro Editoriale Valtortiano (CEV). La seconde et dernière traduction française, réalisée par Yves d’Horrer et publiée par le CEV en décembre 2016, a nécessité huit années de travail.

    Sommaire

    Cette Œuvre est composée des 652 visions réparties en 7 parties, tenant en 10 tomes et plus de 5 300 pages.

    • Proto-évangile (naissance et vie cachée de Marie et de Jésus) : visions 1 à 43.
    • Première année de la vie publique de Jésus : visions 44 à 140.
    • Deuxième année de la vie publique de Jésus : visions 141 à 312.
    • Troisième année de la vie publique de Jésus : visions 313 à 540.
    • Préparation à la Passion de Jésus : visions 541 à 600.
    • La Passion et mort de Jésus : visions 601 à 615.
    • De la Résurrection à la Pentecôte (Glorification de Jésus et de Marie) : visions 616 à 651.
    • L’Adieu à l’Œuvre : vision 652.

    Caractéristiques du style

    Qualité littéraire

    Les pages de Maria Valtorta, a fortiori en italien, frappent par leur très bon niveau littéraire. D’autant qu’elles ont été rédigées :

    • sans plans, brouillons, prises de notes ou recherches préparatoires,
    • à la main, d’un seul jet, très rapidement,
    • alors qu’elle se trouvait dans un contexte très éprouvant (souffrances physiques extrêmes, seconde guerre mondiale, guerre civile).
    • et pratiquement sans retouches.

    Il lui arrivait d’ajouter quelques précisions et commentaires en bas des pages ou sur des feuillets annexes. Ces apports personnels, distincts des visions, étaient généralement faits, sur des feuillets séparés, à la lecture des pages dactylographiées par le Père Migliorini. Il ne s’agissait pas de "corriger" le récit primitif, ce qu’elle s’interdit , mais d’en souligner certains traits particulièrement marquants. Si ces commentaires doivent être considérés comme ceux de Maria Valtorta, ils bénéficient cependant de l’assistance du Ciel, ce qui justifie leur haute tenue théologique :

    "Dans ces cas-là (les visions), je suis toujours assistée par Notre-Seigneur, par Marie ou par l’Esprit-Saint, qui viennent au secours des faiblesses de ma mémoire en me répétant ce que je dois dire ou en me suggérant comment le faire, selon qu’il s’agit de paroles entendues ou de visions contemplatives […]. C’est pourquoi l’on doit tenir pour certain que ce que j’ai mis par écrit dans les cahiers correspond exactement à la vérité. Il en va de même pour les corrections apportées aux copies dactylographiées : j’ai l’assistance de Notre-Seigneur pour ce qui a trait à l’Évangile, et celle de l’Esprit-Saint pour les autres leçons (les Messes des Anges (Azarias) et les épîtres de saint Paul, ou encore d’autres leçons qui portent sur la Bible)".

    Le commentaire sur "l’âme de Marie se souvenait de Dieu" (EMV 10.8), s’étend sur neuf pages. Il justifierait à lui seul cette affirmation du Père Roschini : "Qui veut connaître la Sainte Vierge (une Vierge en parfaite harmonie avec le magistère ecclésiastique, en particulier avec le concile Vatican II, les Saintes Écritures et la Tradition de l’Église) se doit de puiser à la mariologie valtortienne ! "

    Il est de coutume de dire, dans le monde éditorial, qu’un livre de 300 pages bien relu et corrigé comporte, en moyenne, sept coquilles orthographiques ou grammaticales. Les 13 193 pages manuscrites de Maria Valtorta – non corrigées – n’en comportent aucune.

    Le souci des détails

    Maria Valtorta transcrivait souvent les noms propres phonétiquement, n’hésitant pas à employer quatre ou cinq formes différentes pour un même nom propre afin de rester la plus fidèle à ce qu’elle entendait sur l’instant (ex : EMV 41.3).

    Cette précision dans les détails a été explicitement demandée par Jésus qui veille à ce que Maria Valtorta note scrupuleusement tout ce qu'elle voit :

    "Souviens-toi d'être tout à fait scrupuleuse pour répéter ce que tu vois. Même une bagatelle a de la valeur et elle n'est pas à toi, mais à Moi. Aussi, il ne t'est pas permis de l'escamoter. Ce serait malhonnête et égoïste. Rappelle-toi que tu es la citerne d'eau divine ou l'eau se déverse pour que tous y aient accès. Pour les dictées, tu es arrivée à la plus fidèle fidélité. Dans les contemplations, tu observes avec beaucoup d'attention, mais dans la hâte d'écrire, et à cause de ton état particulier de santé et de l'ambiance où tu te trouves, il t'arrive d'omettre quelque détail. Il faut l'éviter, mets-les au bas des pages mais indique-les tous ."

    Directive que Jésus résume ainsi :

    "Plus tu seras minutieuse et précise, plus nombreux seront ceux qui viennent à moi."

    Cette fidélité dans la transmission des visions est la garantie de la plus grande conformité possible à la source initiale. On constate d’ailleurs la forte appétence des primo-lecteurs pour ces détails matériels qui les ouvrent à une compréhension accrue et immédiate des épisodes de l’Évangile canonique. Ce n’est pas sans rappeler les premiers conseils de Saint Ignace dans ses exercices : se représenter d’abord la scène de l’Évangile avant de la méditer.

    Pour en savoir plus

    • L’œuvre et l'Église
    • La conformité doctrinale
    • Les thèmes théologiques et doctrinaux
    • Les inédits et développements de l'Évangile
    • Les données techniques et historiques
    • La postérité

    Notes et références

    1. L'article de l'Osservatore Romano motive bien la mise à l'Index par des références au volume I et II qui furent publiés en 1956 et 1957, Pie XII étant vivant. Les raisons de la condamnation, selon les censeurs du Saint-Office, existaient donc dès ces dates. Le fait qu'ils aient attendu 1959 et la sortie du dernier volume pour agir fournit une preuve supplémentaire de la protection de Pie XII, favorable à l'Œuvre qu'il avait lue. Les censeurs auraient dû agir dès le constat des fautes.
    2. Exemple : EMV 174.10 ; EMV 182.6 ; EMV 229.4 ; EMV 273.8 ; EMV 298.1 ; EMV 336.1 ; EMV 352.4 ; EMV 352.17 ; EMV 360.16 ; EMV 378.1 ; EMV 410.7 ; EMV 415.7 ; EMV 418.8 ; EMV 429.4 ; EMV 467.12 ; EMV 468.1 ; etc.
    3. Une péricope désigne un extrait formant une unité littéraire ou une pensée cohérente, généralement dans un texte sacré.
    4. Correspondant à une référence évangélique précise
    5. Outre les commentaires inclus dans certains épisodes
    6. Non mentionné dans les Évangiles ou correspondant à une simple évocation
    7. Trois épisodes référés uniquement aux Actes des Apôtres.
    8. La différence avec les 373 unités narratives de l'Évangile (péricopes) s'explique par le fait que plusieurs évangélistes peuvent rapporter un même fait. Seul le fait est décompté ici.
    9. Fête de Ste Zita de Lucques (le diocèse de Viareggio) et jour de la béatification de Maria Goretti, précise Maria Valtorta dans sa correspondance (Lettres à Mère Teresa Marie, tome 2, 30 avril 1947, p. 99). C'est le 28 avril qu'elle reçoit la vision de la Pentecôte qui clôt le cycle messianique pour ouvrir celui de l'Église. Jésus y parle de Ste Zita (EMV 640)..
    10. Lettres à Mère Teresa Maria, tome 2, 28 avril 1947, p. 97.
    11. Lettres à Mère Teresa Maria, tome 2, 30 avril 1947, p. 102. "Silence de Rome. Voici maintenant trente-trois jours que le Père Berti a écrit pour annoncer que le dossier était sur le bureau du Saint-Père... mais je crois qu'il s'agit d'un mensonge de plus".