Bien
Voir aussi l'antonyme : Le Mal et ses origines.
L'homme porte en lui le bien et le mal, à cause de la faute originelle. Mais c'est toujours le choix, la volonté de l'homme qui font accomplir le bien ou le mal. Le baptême, les sacrements et la prière font partie des armes pour ne pas faire le mal, et donc ne pas pécher.
Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
- Nous avons tout en nous : le bien et le mal. Tout nous portons avec nous. Sur le bien souffle le souffle de Dieu. Sur le mal souffle Satan[1]
- Dans toutes les actions de l'homme il y a une possibilité de bien ou de mal suivant la manière dont on les accomplit.[2]
- Sachons bénir le Seigneur qui toujours, d'un bien particulier, tire un bien collectif[3]
- Le reflet du bien et du mal sur le visage[4]
- Il me suffit d'aller au Temple pour les fêtes d'obligation pour savoir tout le bien et tout le mal ! Et le bien on le connaît moins que le mal, parce que le bien est humble et ne fait pas de réclame. Le mal, au contraire, fait résonner ses trompettes et il fait retentir ses paroles, même aux oreilles de ceux qui ne veulent pas entendre.[5]
- Tous les germes du mal et toutes les aspirations au bien dorment dans l'homme par la volonté aimante de Dieu, par la volonté mauvaise de Satan qui suggestionne, qui tente, qui excite, alors que Dieu attire, réconforte, aime. Satan tente pour séduire. Dieu travaille pour conquérir.[6]
- C'est toujours la volonté de l'homme qui fait accomplir le bien ou le mal. Et sur la volonté de l'homme, la Volonté de Dieu projette ses lumières et la volonté de Satan ses vapeurs empoisonnées. Il appartient à l'homme d'accueillir la lumière ou le poison et de devenir juste ou pécheur.[7]