Maternité
La maternité prend ordinairement forme à travers l'enfantement. D'autres formes de maternité sont possibles, par l'adoption, et d'une manière spirituelle. La Vierge Marie est le modèle le plus accompli de la mère.
Dans "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé"
- La maternité virginale de Marie. Le type de maternité de Marie avait été accordée par Dieu à Ève avant son avilissement.[1]
- Grossesses : joyeuse de Marie et douloureuse d’Élisabeth.[2]
- Déchirement de l’enfantement spirituel de Marie : Elle dit : "Mais, crois-moi, ma fille, qu'il n'y a jamais eu et qu'il n'y aura jamais tourment d'enfantement semblable à mon enfantement de Martyre d'une Maternité spirituelle accomplie sur le plus dur des lits : celui de ma croix, au pied du gibet de mon Fils qui mourait.
Quelle est la mère qui est contrainte à générer de telle façon, et à mêler le tourment de ses entrailles qui se déchiraient en entendant le râle de sa Créature agonisante au déchirement intérieur pour avoir à surmonter l'horreur de devoir dire: "Je vous aime. Venez à moi qui suis votre Mère" aux assassins de son Fils, qui était né du plus sublime amour qu'ait jamais vu le Ciel, de l'union d'amour d'un Dieu avec une vierge, d'un baiser de Feu, de l'embrassement de la Lumière, qui se firent Chair et du sein d'une femme firent le Tabernacle de Dieu ?"[3] - Toute souffrance s’apaise sur le sein de Marie : Élisabeth lui dit : "Laisse-moi mettre les mains sur ton sein". "Oh ! si dans votre souffrance vous me demandiez toujours cela !" (...) "Et toute douleur se calme et toute espérance fleurit et toute grâce coule pour qui vient à moi et pose sa tête sur mon sein."[4]
- Notre Mère du Ciel ne cesse de prier pour nous : "Je prie pour vous. Rappelez-le. La béatitude d'être au Ciel, vivant dans le rayonnement de Dieu, ne me fait pas oublier mes fils qui souffrent sur la terre. Et je prie. Le Ciel entier prie, car le Ciel aime. Le Ciel c'est la charité vivante. Et la Charité a pitié de vous.
Mais, s'il n'y avait que moi, ce serait déjà une prière suffisante pour les besoins de qui espère en Dieu, puisque je ne cesse de prier pour vous tous : saints et dépravés, pour donner aux saints la joie, pour donner aux méchants le repentir qui sauve.
"Venez, venez, ô fils de ma douleur. Je vous attends au pied de la Croix pour vous faire grâce."[5] - Naissance de Jésus.[6]
- Maternité spirituelle de Marie.[7]
Dans d'autres sources
- Dans les révélation célestes de Sainte Brigitte de Suède (1303-1373) [8].
- Dans la Cité mystique de Dieu de la Vénérable Maria d'Agreda (1602-1665) [9].
- Extraits des visions de Anne-Catherine Emmerich (1774-1824) [10].
- Extraits de "Marie, porte du Ciel" de Consuelo (contemporaine anonyme) [11].
- Dans le protévangile de Jacques [12].
Notes et références
- ↑ EMV 17
- ↑ EMV 22
- ↑ EMV 23.9
- ↑ EMV 23.10
- ↑ EMV 23.10
- ↑ EMV 29
- ↑ EMV 44
- ↑ les révélation célestes de Sainte Brigitte de Suède (1303-1373)
- ↑ la Cité mystique de Dieu, de la Vénérable Maria d'Agreda (1602-1665)
- ↑ Extraits des visions de Anne-Catherine Emmerich (1774-1824)
- ↑ "Marie, porte du Ciel", de Consuelo (contemporaine anonyme)
- ↑ le protévangile de Jacques