Calliroé

Calliroé.

Les sources chaudes.

Habitants ou natifs

Un possédé par Bélzébuth.

Descriptif

Sources chaudes sur la rive est de la Mer Morte, près de Machéronte.

Faits marquants

La troupe apostolique est en butte à une série d'agressions : Ils rencontrent un possédé à Calliroé "le second dont tu dis qu'il est dominé par Belzébuth".

Son Nom

Calliroé, Callirhoé, Zereth-shahar ; La belle source

Où en parle-t-on dans l'œuvre ?

EMV 502

En savoir plus sur ce lieu

C'est à ces sources chaudes que Hérode le Grand, gangrené et "dévoré de vers", vient tenter de se faire soigner. En vain. Il mourra peu de temps après à Jéricho.

Extrait du Dictionnaire géographique de l'Évangile selon Maria Valtorta, par Jean-François Lavère :

Lors d’un pèlerinage vers le mont Nébo, à l’automne de la troisième année, Jésus a traversé Callirhoé, où il fut très mal accueilli. Plus tard, alors que leur route croise celle d’un possédé, Jésus dit à Pierre : « Mon Pierre, et tu crois qu'ils ne sont pas possédés ? Tu crois que pour l'être, il faut être comme celui de Calliroé et d'autres, que nous avons rencontrés ? »^[1]
Les sources chaudes de Callirhoé étaient célèbres, dans l’Antiquité. Flavius Josèphe rapporte qu’Hérode le Grand vint y chercher un soulagement à ses nombreux maux.
Cité dans : Guerre des Juifs 1,33,5 ; Flavius Josèphe, Antiquités judaïques 17.