Cédron (Vallée du)
Passage obligé entre Jérusalem et le Jardin des Oliviers, Béthanie ou Jéricho, c'est le nom d'une vallée, et du cours d'eau qui la parcoure.
Descriptif
le Cédron est omniprésent dans l’œuvre de Maria Valtorta. Elle le décrit, au début du printemps, comme :« un petit torrent qui charrie très peu d'eau s'en va à travers la faille qui se trouve entre deux collines peu élevées. Le Temple est au sommet de l'une des deux ; sur l'autre, des oliviers à perte de vue »[1]. En juin ce n’est qu’un « petit cours d’eau » dont « les eaux peu abondantes coulent au centre de son lit »[2] Pratiquement à sec en juillet, « le Cédron, réduit à un filet d'eau, ne fait pas de bruit »[3]. Mais il se gonfle à nouveau en octobre : « le bruit du torrent, gonflé par les pluies d'automne »[4].
Faits marquants
Jésus y passe très souvent, il le remonte avec ses apôtres, du Cénacle à Gethsémani, le soir du jeudi Saint.
Son nom
Cédron (Vallée du) ; Cédron, Kedron, (cours d’eau, Noirceur, tristesse).
Où en parle-t-on dans l'œuvre ?
EMV 54.1 ; EMV 67.1 ; EMV 644.1 ;
En savoir plus sur ce lieu
Extrait du Dictionnaire géographique de l'Évangile selon Maria Valtorta, par Jean-François Lavère :
Un exemple pris parmi tant d’autres permet d’apprécier l’extrême précision des descriptions valtortiennes : « Ils reviennent sur le chemin pour Béthanie, qui suit le cours du Cédron qui fait une courbe à angle aigu, après une centaine de pas de Siloan »[5]. Ce changement brusque de direction se situe au niveau des Jardins du roi et de En Rogel (voir ces mots).Torrent qui coule du nord au sud, dans la vallée située entre le mont du Temple et le mont des Oliviers. Son cours se prolonge jusqu’à la mer Morte. Les descriptions de Maria Valtorta sont conformes au témoignage de Chateaubriand, qui précisait qu'il est à sec une partie de l'année, et que dans les printemps pluvieux, « il roule une eau rougie »[6].
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• 31° 46’ 25’’ N / 35° 14’ 19’’ E /
• +670mm











